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il y a 6 ans
Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda :
"Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint-Montagneux ?"
"Brrr… ?"
Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune femme, élancée, sur le siège arrière.
"Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après.
"Des e n f a n t s ? Pourquoi parlez-vous d’e n f a n t s ? Il n’y a aucun e n f a n t à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déjà adulte, Madeleine la vieille femme de ménage, la cuisinière et moi."
"C’est curieux", expliqua Denise, et elle montra dans sa main la lettre.
"Madame demande en plus si je suis qualifiée dans l’entretien et les soins à donner aux bébés et aux petits e n f a n t s."
Sur le visage du cocher apparut un large rictus.
"Ah, bon…" dit-il d’une voix traînante.
Il se retourna de nouveau par-devant et rendit les rênes au cheval. Avec un énergique "Hue, vieux !" la voiture continua de nouveau à rouler.
"Hé, Jacques, vous êtes un grossier personnage !" protesta Denise, "Ce n’est pas une réponse. Comment se fait-il que Madame m’écrive cela, s’il n’y a aucun e n f a n t au domaine ?"
Jacques regarda par derrière au-dessus de son épaule. Il ricana encore.
"Attendez, Mademoiselle. Vous serez bientôt renseignée." Alors il fit claquer son fouet et laissa trotter le cheval.
Après environ vingt minutes de trajet, ils atteignirent Saint-Montagneux. Ils tournèrent dans la cour large et spacieuse du Domaine. Denise curieuse, regarda autour d’elle pendant que le cocher mettait pied à terre et déchargeait sa valise.
"Venez, Mademoiselle," et faisant un signe, "Je vous conduis à la maison."
Denise descendit et suivit le cocher qui avait pris la valise et gagnait la maison à grandes enjambées. Elle se dépêcha de rejoindre Jacques autant que ses bottines et sa robe étroite le permettaient. Ils s’arrêtèrent devant l’entrée imposante à double battant. Jacques s’assit sur la valise et l’observa en la jaugeant. Denise sourit encore un peu et remonta une mèche cheveux sur son front.
"Je crois que mon tailleur de Paris n’est pas approprié à la Normandie.
Je devrai m’habituer à des affaires plus solides."
"Sûrement", approuva Jacques de la tête, "vous devrez vous habituer encore à de toutes autres choses si vous voulez rester ici."
Denise hocha la tête, agacée.
"Jacques, que voulez vous encore dire maintenant ?"
"Ah, rien de plus. Vous êtes une personne dégourdie. Vous le verrez bien vous-même. Vraisemblablement plus tôt que vous ne pensez. Au revoir.
Jusqu’au dîner."
"Au revoir, Jacques."
Elle lui tendit la main et dit en riant :
"Dites-moi simplement Denise. J’espère que nous nous entendrons bien ensemble."
Là-dessus il fit un mouvement du pouce en direction de la maison et de nouveau sur son visage de pirate audacieux, apparut une grimace joyeuse et puérile. Rêveuse, elle le suivit des yeux lorsqu’il retourna lentement vers la voiture et s’assit sur le siège. Que voulait dire Jacques avec ses allusions ?
Denise avait 28 ans. Depuis sa dix-huitième année elle travaillait comme femme de chambre, et elle avait acquis une grande expérience de la vie.
Bien qu’au service exclusif des dames dans une maison il était usuel que les hommes par nature, du maître de maison en passant par le valet de chambre jusqu’au jardinier aient des prétentions de possession plus ou moins palpable contre lesquelles Denise pouvait quelquefois difficilement se défendre. Maintenant Denise n’était plus prude. Celui qui lui plaisait avait tout à fait sa chance auprès d’elle. Seulement elle voulait elle-même décider avec lequel elle se mettrait au lit, ou pour lequel elle se coucherait une fois rapidement sur un banc de jardin. Mais qu’attendait-elle, ici, au Domaine de Saint-Montagneux ? Elle se raidit, prit sa valise et frappa au lourd heurtoir bronzé. Des pas résonnèrent dans la maison, la porte s’ouvrit, et devant Denise se tint une jeune fille assez potelée, avec un petit nez retroussé, des amusantes taches de rousseur et des cheveux bruns bouclés en désordre. La tête bouclée lorgna curieusement Denise et dit ensuite favorablement :
"Mais tu es jolie. Nous n’avons encore jamais eu ici une aussi jolie jeune-fille, alors tu es Denise, la nouvelle servante, pas vrai? Maman m’a dit que tu arriverais aujourd’hui."
Denise approuva de la tête et entra dans le vaste vestibule. La tête bouclée lui tendit une petite main ferme et dit :
"Bienvenue à Saint-Montagneux. Je suis Mademoiselle Lisette."
Là-dessus, elle pinça les lèvres d’une manière distinguée et sur son visage agréable et espiègle apparut une grimace qui se brisa aussitôt dans un rire joyeux et dit :
"Dis-moi tranquillement Lisette, lorsque nous serons entre nous. Je ne suis ni sévère ni consciente des traditions comme maman et grand-père Pierre. Viens, je te montre ta chambre et ensuite je te présente à maman."
Lisette laissait monter autour d’elle une odeur douçâtre et acide que Denise ne pouvait localiser. Elle regarda la jeune fille montant les escaliers devant elle, les cuisses et les fesses fermes sous une robe d’été courte et légère et elle pensa en plus que la petite avait une culotte impossible à mettre. Lisette, d’une voix joyeuse l’arracha à ses pensées.
"Nous y sommes. Tu habites là."
La petite chambre était claire et gaie. Le regard de Denise détailla l’installation simple mais propre et resta accroché au lit fraîchement fait. Elle regarda d’un air interrogateur Lisette qui ouvrit le lit et effleura je drap lisse de couleur rouge brun.
"C’est un drap en caoutchouc tout neuf. Tu es surprise, pas vrai ? Je suis venue spécialement pour voir ton visage lorsque tu découvrirais le caoutchouc."
Elle s’assit sur le lit avec un ’plouf’ sonore et montrant la table de nuit :
"Tu seras encore plus étonnée lorsque tu verras ce qu’il y a dedans. Tu paries ?"
Denise tira lentement le tiroir et toucha l’intérieur.
"Qu’est-ce…pour qui sont ces affaires ?" bredouilla-t-elle, consternée.
Dans le tiroir étaient rangées des culottes en caoutchouc et pour le moins trois douzaines de couches proprement empilées. Lisette éclata de rire.
"Mon Dieu, si tu pouvais te voir maintenant ! Oui, toutes ces choses là sont pour toi. J’ai choisi pour toi, en commun avec maman, les culottes en caoutchouc. Viens ne fais pas une tête si épouvantable assise toi à côté de moi !"
Ce faisant elle tira Denise sur le lit.
"Regardes," continua-t-elle sérieusement, "Maman a un faible pour le caoutchouc et les bébés. Elle est très sévère et ne voit là dedans aucun amusement. Elle a reporté son faible sur toute la famille. Regardes !"
Lisette se leva et remonta sa robe au-dessus de la taille. Elle portait une culotte en caoutchouc d’un rouge éclatant, bien remplie. À ce moment Denise sut d’où venait l’odeur douceâtre.
"Sais-tu que dans la journée je la porte souvent sur la peau nue. Maman pense que çà ne se voit pas, d’habitude elle me descend jusqu’aux genoux."
Elle prit Denise par la main et un espoir craintif perça dans sa voix lorsqu’elle dit :
"Tu ne repars pas, Denise ? Tu restes quand même parmi nous ? Toutes les autres jeunes filles sont reparties à cause du caoutchouc et aussi parce que maman est très sévère. Pourtant tu restes avec nous, pas vrai ? On peut avoir aussi beaucoup de plaisir avec le caoutchouc. Ensemble avec Jacques, par exemple."
Sa voix devint comme un murmure.
"Cela peut rendre quelqu’un entièrement lubrique. S’il te plaît, Denise, restes !" Denise se leva et dans un emportement de tendresse prit pour un moment Lisette contre sa poitrine.
"Viens, nous devons aller voir ta mère, d’ailleurs elle est certainement impatiente." Elle jeta un regard dans le tiroir ouvert et demanda en clignant des yeux :
"Si je m’habillais tout de suite ?"
Interloquée, Lisette regarda Denise.
"Tu voudrais bien le faire ?"
Denise haussa les épaules.
"Je dois bien commencer un jour, si je veux rester ici. Aides-moi à défaire mes affaires."
Si elle avait su, elle serait partie en courant ! A suivre ici
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